FRANCAIS
SITE WEB
RETOUR / BACK / RÜCKWÄRTS
WEBSITE
ENGLISH

RETOUR / BACK / RÜCKWÄRTS
cliquer pour agrandir : click to enlarge / vergrössern hier
GARY HOLTON
JEAN-MARC PHUA CHU KANG
WILLIAM
AUTRES PEOPLE / OTHER PEOPLE
RETOUR / BACK / RÜCKWÄRTS
Egil "Drillo" Olsen:
un entraîneur de football norvégien botteux

cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
eXTReMe Tracker
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
Des bottes suisses pour "Drillo"
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier

Egil Roger Olsen est un drôle de coco né en Norvège le 22 avril 1942. D’abord footballeur remarqué —il connut 16 sélections en tant qu’attaquant international—, d’où son surnom de « Drillo » (le perforateur) il devint ensuite l’entraîneur puis le sélectionneur de l’équipe de football de Norvège, de 1990 à 1998.

Un entraîneur totalement atypique : « intellectuel » à sa façon, il lit Sartre et théorise même sa propre « philosophie du football » (Min Fotballfilosofi) ; un scientifique dans l’âme : il connait par cœur l’altitude des principaux sommets de la planète et utilise des bases de données informatiques dans son approche footballistique : ce qui permit à la Norvège de briller en battant le Brésil en 1998 ; un homme engagé : on a souvent raillé ce « communiste marxiste-léniniste » qui, dans sa lutte anti-tabac poursuit jusque dans les rues les fumeurs impénitents…

Enfin un excentrique botteux : il fait sensation en portant constamment sur les stades, ses bottes en caoutchouc (pour éviter des rhumatismes, pensent certains…). Cette excentricité, ajoutée à sa conception non conventionnelle du football, fut mal perçue quand il devint manager, en 1999, de l’équipe anglaise de Wimbledon : loin de l’image friquée du club, il ne conduisait pas et se déplaçait à pied jusqu’au stade afin d’observer les écureuils en cours de route. Le « professeur Maboule » comme le surnommèrent les tabloïds anglais, ne portait sur le stade que ses bottes en caoutchouc dont il retournait le haut à la manière du personnage de « Compo » (sorte de clochard d’une série britannique). La boutique du club du stade de Selhurst Park, dans le Sud-Est de Londres, vendit même, en son hommage, tout un stock de bottes en caoutchouc, à moins de £10 la paire. Mais le « Crazy Gang » (l’équipe de Wimbledon qu’il entraînait alors) eut finalement sa peau en 2000 et alla, dit-on, jusqu’à brûler ses deux paires de bottes en caoutchouc, en signe de colère.

Il entraîna ensuite l’équipe d’Irak, puis de nouveau depuis 2009, toujours botté de caoutchouc, l’équipe nationale de Norvège, la faisant remonter dans les classements FIFA de la 59ème à la 11ème place.


cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier

cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier
MUSEE DU FOOTBALL D'OSLO

cliquer pour agrandir / click to enlarge / vergrössern hier

SITE WEB /
WEBSITE /
WEBSEITE
RETOUR /
BACK /
RÜCKWÄRTS
NOUVEAU /
NEW /
NEU
ACCUEIL / HOME / WEBSEITE
RETOUR / BACK / RÜCKWÄRTS
NOUVEAU / NEW / NEU

GUMICSIZMA
GUMMISTIEFEL
GUMMISTÖVLAR
BOTAS DE GOMA
BOTTES CAOUTCHOUC
RUBBER BOOTS
STIVALI DI GOMMA
RUBBER LAARZEN
KUMISAAPPAAT